QUI SOMMES NOUS ?

ASSURMEYER :
Le courtier expert en prévention dentaire qui réinvente l'assurance.

Chez ASSURMEYER, nous avons une conviction profonde : l'engagement que vous consacrez à votre santé, et en premier lieu à votre santé orale, mérite une récompense concrète en assurance.

✔️ Notre constat : le modèle d'assurance classique vous demande de payer pour guérir.

✔️ Notre vision est différente : nous souhaitons vous donner les moyens de prévenir pour ne pas avoir à guérir.

C'est ainsi que nous créons ensemble un modèle d'assurance plus juste, plus responsable et plus économique, capable de faire évoluer le modèle d' " Assurance Maladie " classique.

Car le terme même d’ " Assurance Maladie ", hérité d’une autre époque, porte en lui une logique aujourd'hui dépassée : celle qui consiste à intervenir une fois que les maladies et les problèmes sont installés, plutôt que les évitées.

Ce modèle est même devenu difficilement réformable, notamment en raison de multiples conflits d’intérêts, dans un monde où une grande partie des maladies non transmissibles (MNT), appelés aussi
maladies chroniques, pourrait être évitée grâce à la prévention.

Il est donc temps de faire évoluer les mentalités et de parler enfin d’ " Assurance Santé ", en plaçant la prévention au cœur du système.

✔️ Notre engagement se résume en trois étapes clés : Prévenez, Assurez moins cher, Souriez !

NOTRE MODÈLE DISRUPTIF :
UN CERCLE VERTUEUX GAGNANT-GAGNANT

ASSURMEYER met fin au conflit d’intérêts historique entre le curatif et le préventif en se basant sur deux axes d'investissement majeurs :

🎯 Axe 1 : Un investissement efficace dans la prévention primaire

Nous ne faisons pas que parler de prévention, nous agissons concrètement pour la rendre efficace.

Nous réorientons les investissements vers des solutions de prévention primaire pertinentes et incitatives, capables :

➡️ De lutter contre les inégalités en santé orale, en ciblant aussi et surtout les adultes, car cibler des enfants sans accompagner ou encourager leurs parents dans le même temps est illusoire.

➡️ De garantir l'adoption de comportements durables, car en santé, c'est l'observation continue qui compte en prévention pour éviter des maladies.

➡️ De réduire significativement les dépenses de santé curatives liées aux maladies bucco-dentaires et les maladies non transmissibles (MNT) associées, se chiffrant chaque année en milliards €, qui sont
en grande partie évitables d'après l'OMS.

🎯 Axe 2 : Des solutions d'assurance compétitives

Notre objectif est de vous proposer des solutions d’assurance (santé, prévoyance, auto, habitation, etc.) parmi les plus compétitives du marché.

Comment y parvenons-nous ?

Les économies générées par notre investissement ciblé dans la prévention (moins de sinistres, moins de dépenses curatives) nous permettent de créer un cercle vertueux : moins de coûts pour l'assureur, plus de moyens pour vous proposer des assurances de qualité à un coût maîtrisé.

NOTRE HISTOIRE :
LA CONVICTION QUI NOUS ANIME

ASSURMEYER est né en France de la persévérance de notre président fondateur, Gérald DEMEYER, dont l'engagement pour la santé publique orale remonte à 2001, et sa volonté de transformer le secteur de l’assurance s’affirme depuis 2014, année de ses premiers pas en tant que courtier.

🪥 L'épreuve fondatrice du Point Dentaire

En 2001, Gérald DEMEYER a identifié le besoin fondamental d'hygiène dentaire hors domicile et a fondé l’association Point Dentaire pour développer un mobilier urbain dédié à cette cause (une première mondiale cf.
article de presse)

Malgré l'enthousiasme populaire 1 et la reconnaissance scientifique de l'alliance entre hygiène dentaire, prévention et suivi 2, le projet a été contraint à l'abandon face à de nombreux obstacles. 3


Résultat : les dépenses dentaires des Français ont depuis littéralement explosé, passant de 7,7 milliards € par an en
2002 (année de création de l'association Point Dentaire) à près de 15,7 milliards € aujourd'hui, dont plus de 7 milliards € uniquement pour la vente de prothèses dentaires. Alors même que les Français bénéficient pour leurs soins dentaires d'une prise en charge intégrale, pour ne pas dire " gratuite " après financement de l'Assurance Maladie et des complémentaires santé. 4   

Ce qui prouve, si c'était nécessaire, que les solutions préventives développées jusqu'à présent en France, notamment celles intégrées au programme
M’T dents, sont obsolètes ou inefficaces à long terme. Et ce, malgré un budget fléché " prévention bucco-dentaire " de près de 90 millions € d'argent public confié chaque année par les (contribuables) Français à l'Assurance Maladie pour financer ces solutions.

En d'autres termes, les Français sont aujourd'hui enfermés dans un cercle vicieux de restauration dentaire à vie, qui coûte chaque année plusieurs milliards € à la Sécurité sociale et aux assureurs ... et donc au final
aux (assurés) Français, alors que les maladies bucco-dentaires sont en grande partie évitables avec des moyens simples et efficaces.

DE L'ENGAGEMENT ASSOCIATIF EN 2001
AU LANCEMENT D'ASSURMEYER EN 2026

⚠️ Des alertes et recommandations institutionnelles ignorées depuis 2010 :

➡️ En 2010, l'Inspection générale des affaires sociales (IGAS) soulignait que " le retard français en matière de prévention et d’hygiène bucco-dentaire reste flagrant malgré les actions menées par l’assurance maladie et les chirurgiens-dentistes ", tout en recommandant aux pouvoirs publics et à l'Assurance Maladie dans un rapport de 2013
l’élaboration d’un plan de santé bucco-dentaire qui ne se limite pas à la prévention chez les enfants et adolescents.

➡️ En 2016, la
Cour des comptes  a dressé un constat encore plus alarmant :   Le (1er) plan (français) de prévention bucco-dentaire, lancé en 2007, excluait " près de 80 % de la population ", principalement les adultes. Elle recommandait alors de mettre en place une stratégie globale de santé bucco-dentaire, axée sur la prévention et le suivi pour tous, aux objectifs lisibles et mesurables et mobilisant l’ensemble des acteurs concernés, comme la Cour l’a déjà recommandé.

➡️ En 2025, la conférence nationale de santé
(CNS) a adopté un rapport formulant 44 recommandations pour le secteur dentaire. Ce rapport fait notamment état qu' " il est urgent de définir une stratégie nationale de santé orale ", en appelant " à favoriser le déploiement de programmes de prévention et/ou promotion de la santé orale au plus près des populations ", car " un bon état de santé orale profite à toutes et à tous. " (Recommandation 10)

⚡ Conclusion : Il est urgent d'arrêter de dépenser chaque année des dizaines de millions €, issus de fonds publics et des complémentaires santé, dans des solutions préventives obsolètes, et de réorienter ces investissements dans des solutions innovantes & véritablement incitatives.

En effet, le véritable enjeu aujourd’hui dans l'Hexagone en matière de prévention dentaire, n’est plus de financer des solutions préventives qui ne fonctionnent qu'à la condition première que le bénéficiaire franchisse spontanément la porte d’un cabinet dentaire.

Il s’agit plutôt d’investir dans des solutions incitatives déployées en dehors des cabinets, capables, entre autres, de garantir que les bénéficiaires, en particulier les publics les plus éloignés du système de soins, se rendent au moins 1 fois par an chez un chirurgien-dentiste à titre préventif.

C’est dans ce contexte que Gérald DEMEYER a imaginé
un modèle économique disruptif, développé aujourd'hui sous l’enseigne ASSURMEYER, guidé par une vision claire, une méthode précise et une véritable stratégie de prévention dentaire digne de ce nom.5

UNE AMBITION MONDIALE

Après avoir consolidé ses bases en France, ASSURMEYER entend s’étendre à l’international en alignant son développement sur le
Plan d’action mondial pour la santé bucco-dentaire (2023-2030), qui met en avant l’importance de développer une stratégie de prévention dentaire efficace dans le monde entier afin de réduire durablement les " Coûts sociaux, économiques et environnementaux des problèmes de santé bucco-dentaire. ".

1. " 61 % des Français déclaraient vouloir conserver leurs dents naturelles toute leur vie, et 73 % exprimaient le besoin de pouvoir se brosser les dents n'importe où et n'importe quand ". Source : Étude GSK SGP/Ifop réalisée en mai 2008 auprès d'un échantillon de 1028 personnes représentatif de la population française âgée de 15 ans et plus.
2. Source : rapport réalisé en 2001
LIGNES DIRECTRICES POUR UNE REFORME DENTAIRE.
3. À ce sujet, voici une enquête exclusive :
Prévention Dentaire en France : la vérité sur un retard qui pénalise des millions de Français.
4. Depuis la création du ticket modérateur
, et la première convention dentaire nationale signée en 1971 qui encadre et plafonne les tarifs des chirurgiens-dentistes en France, les gouvernements et parlementaires successifs ont progressivement voté des réformes qui permettent aujourd'hui à tous les assurés français d'accéder aux soins dentaires en bénéficiant d'un remboursement intégral, avec comme point culminant la réforme 100% santé dentaire. Concrètement, que ce soit pour des consultations chez un chirurgien-dentiste ou des soins dentaires conservateurs ou prothétiques, toutes ces prestations médicales sont majoritairement sans reste à charge à ce jour en France, car elles sont remboursées intégralement par l'Assurance Maladie (la " Sécu " en langage courant) et les assureurs par l'intermédiaire du marché de la complémentaire santé (la " Mutuelle " en langage courant), qui couvre aujourd'hui 96% de la population française, et même 100% avec la complémentaire santé solidaire (ex CMU-C). À noter que le Tiers payant intégral (TPI) est en cours de généralisation pour l'ensemble de la population, grâce au déploiement de solutions logicielles permettant " la dispense d'avance de frais en 3 clics ", comme l'indique un communiqué de presse de toutes les parties prenantes à ce projet. Il faut savoir que dans le cadre des obligations nées de l'article 83 de la loi de modernisation du système de santé du 26 janvier 2016, l' inter AMC met à la disposition des professionnels de santé, dont les chirurgiens-dentistes, le service TIERS PAYANT complémentaire pour qu'ils puissent proposer le TPI à tous leurs patient(e)s, sachant que ce TPI est obligatoire depuis le 1er janvier 2022 pour tous les soins dentaires du panier 100% santé (cf. Loi 2020-1576 du 14 décembre 2020).
5. NE PAS CONFONDRE INVESTIR ET DÉPENSER EN PRÉVENTION. Une stratégie de prévention dentaire digne de ce nom repose sur deux types d’actions, à la fois complémentaires mais fondamentalement différentes : D'une part, les investissements de prévention primaire (prévention non médicale), centrés sur l'information, l'éducation et la promotion de la santé orale. Leur objectif est d'éviter l’apparition des maladies bucco-dentaires, principalement :
des caries dentaires, des maladies parodontales, des chutes de dents et de cancer de la bouche.  ; D'autre part, les dépenses de prévention secondaire et tertiaire (prévention médicale), qui relèvent entièrement des soins dentaires curatifs.  Elles visent à limiter l’aggravation ou les complications des maladies existantes. En clair : l'un ne va pas sans l'autre, et l'un entraine l'autre. Pourtant en France, la distinction entre " investir pour prévenir " et " dépenser pour soigner " reste trop souvent floue, voire confuse, dans la politique publique de prévention dentaire. Cette confusion n’est d'ailleurs pas sans conséquences : elle entraîne des effets négatifs tant sur le plan sanitaire que sur le plan financier pour les Français. Elle engendre également un important gaspillage chaque année de plusieurs dizaines de millions € de fonds publics. En effet, certaines prestations " gratuites " proposées dans le cadre du programme M'T dents font doublon avec des prestations équivalentes déjà remboursées intégralement en temps normal — sans reste à charge — par l’Assurance Maladie et les assureurs dans le cadre des complémentaires santé Responsables et Solidaires, qui représentent aujourd’hui 96,5% des complémentaires santé distribuées en France. Une complémentaire santé " Responsable " et " Solidaire " est un contrat qui doit respecter un cahier des charges fixé par l’Etat et dont le montant de cotisation n’est pas fixé en fonction de l’état de santé des personnes couvertes. Autrement dit, l'Etat impose aux assureurs une stricte égalité de traitement entre tous les assurés couverts par un même contrat de ce type, selon le principe : " à primes égales, prestations égales ". Aucune discrimination n’est donc autorisée dans le cadre de ces contrats. Pour illustrer cette confusion et ces doublons de prise en charge, prenons un exemple : Samy, 45 ans, consulte chaque année son chirurgien-dentiste habituel (traitant) pour un contrôle de routine. En tant que résident français, il est obligatoirement couvert par un organisme de Sécurité sociale pour son Assurance Maladie (réforme Puma en vigueur depuis le 1er janvier 2016), et il a souscrit une complémentaire santé qui lui rembourse automatiquement le ticket modérateur (TM). Du coup, sa consultation de contrôle ainsi que d'éventuels soins conservateurs (comme le traitement d'une carie) lui seront intégralement remboursés à chaque fois à 100% sans reste à charge : 60 % par l'Assurance Maladie et 40 % par sa complémentaire santé à ce jour. Poursuivons avec sa famille : Samy est marié à Brigitte, 42 ans, et tous deux ont trois enfants de 8, 12 et 17 ans. Toute la famille consulte chaque année leur chirurgien-dentiste pour un suivi et dépistage régulier d'une éventuelle maladie bucco-dentaire. Là encore, leurs consultations et leurs éventuels soins conservateurs seront intégralement remboursés par l'Assurance Maladie et la complémentaire santé qui couvre toute la famille. Autrement dit, sans les programmes M'T dents ou Générations sans carie, Samy et Brigitte sont (déjà) intégralement remboursés, en temps normal, pour le suivi préventif et les soins dentaires conservateurs de leurs enfants si besoin. Sans parler qu'aujourd'hui, même les soins prothétiques du panier 100% santé dentaire sont désormais remboursés intégralement sans reste à charge par le tandem AMO-AMC. Cette situation illustre à quel point, pour éradiquer efficacement les maladies bucco-dentaires sur le territoire national, un immense travail de pédagogie doit être mené pour expliciter précisément le continuum des soins bucco-dentaires (cf. illustration de la FDI), et le fonctionnement réel du système de remboursement des soins dentaires en France, y compris auprès de celles et ceux qui sont censés défendre et protéger au mieux les intérêts de l'Assurance Maladie, des complémentaires santé, et, au final, des (contribuables & assurés) Français. D'ailleurs, l'association LA DENT BLEUE, créée par des patients victimes du secteur dentaire, résume parfaitement bien ce contexte français et cette confusion dans sa note de position de 2024 en ces termes : " Le secteur dentaire français souffre d’un sous-investissement en prévention dentaire primaire et du manque d’efficacité des campagnes engagées jusqu’à présent (les injonctions et discours moralisateurs ne touchent pas leur cible, comme en attestent les nombreux étudiants qui n’appliquent pas, une fois autonomes, les recommandations acquises pendant leur scolarité). Il est par ailleurs fréquent de confondre les investissements préventifs de niveau primaire (éducation, information, coaching, etc.), avec les dépenses préventives de niveaux secondaire et tertiaire (soins dentaires). Or, les investissements manquent aujourd'hui en France, alors que les dépenses en soins dentaires se sont accrues, surtout pour les prothèses. Sans investissements en prévention dentaire primaire, les dépenses en prévention secondaire et tertiaire sont assurées de se développer chaque année. " Lire la suite Un constat qui fait désormais l'objet de la Recommandation 11 du rapport de la CNS.